A cause des conflits, des guerres, de la pauvreté, ou simplement pour poursuivre le rêve d’une vie meilleure, les flux migratoires s’intensifient depuis quelques années. Mais les réfugiés de guerre sont les plus nombreux. Ils fuient leur pays au péril de leur vie, en empruntant des trajectoires dangereuses et hasardeuses, avec pour seule idée en tête : fuir l’horreur. Ces immigrés sont ensuite dans l’obligation de s’approprier le pays des autres, et doivent s’y débrouiller pour survivre. Dans un monde où le travail se fait de plus en plus rare, l’arrivée de ces postulants n’est pas toujours vu d’un très bon œil.
La nécessité de permettre à tous de suivre une formation
Le droit à l’enseignement est un droit garanti par le droit international. Chaque enfant a le droit de suivre un enseignement de base, et chaque pays a le devoir de mettre en place des structures pour permettre la pleine réalisation de ce droit. De la même manière, chaque personne devrait avoir accès à une formation académique ou professionnelle. Le droit au travail peut être relié de biens de manière au droit à la vie. Par ailleurs la nécessité de travailler pousse les clandestins à accepter tout ce qui se présente. Ils acceptent tout genre de travail pour des salaires minimums et dans des conditions misérables. Mais dire qu’ils volent le travail des autochtones est un peu exagéré. De par leur situation clandestine, ils ne peuvent que se contenter de travail de subalterne, sans contrat de travail, car ils sont sans papiers.
Les métiers ouverts aux étrangers
Pour les immigrants qui sont en situation clandestine, et même pour les étrangers en général, les emplois restent limités. Le domaine du bâtiment était il n’y a pas si longtemps, le plus privilégié par les étrangers. On y a toujours besoin de main d’œuvre. Mais il y a aussi certains métiers qui sont boudés par les autochtones, notamment les métiers de télévente et de téléconseillers. Les métiers de l’artisanat comme l’ameublement de bois restent ouverts aux étrangers. Bref ce sont les métiers qui nécessitent de la main-d’œuvre, et qui demandent plus de savoir-faire que de paperasses qui sont les plus avantageux.